Dans une chambre électrodique, on utilise la décroissance de la résistance d'un électrolyte lorsque sa température augmente.
A la mise sous tension, dans le bloc électrodique, le courant passe d'un électrode à l'autre via le liquide ce qui entraîne un échauffement de l'électrolyte.
La résistance diminuant, la tension augmente aux bornes du moteur ce qui entraîne l'augmentation du couple et une mise en vitesse progressive de la machine sans à-coups jusqu'à sa valeur nominale.

A la fin du démarrage, la résistance résiduelle est éliminée par un court-circuiteur , temporisé par un relais temporisé.
  
                                             Jusqu'à 750 KW

La grande différence de résistivité qui existe entre un électrolyte
liquide et sa vapeur  est utilisée dans une chambre  électrodique.
Dès la mise sous tension, l'appel de courant rotorique provoque un évaporation partielle immédiate de l'électrolyte.

La résistance  instantanément  élevée  ainsi  apparue ajuste le couple de  décollage  à  sa  vapeur  optimale. Au  cours  de  la montée  en vitesse, les  échanges  thermiques  internes permettent l'apparition  d'un  mélange   liquide - vapeur  de  résistance   progressivement décroissante.

Le court-circuitage s'effectue sur une résistance résiduelle faible, celle du liquide, par un jeu de  court-circuiteur temporisé par un relais chronométrique

Contrôle moteur
C. DUSSAULT
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Le  principe met en  oeuvre une résistance électrolytique à niveau constant   et  une  série  de  blocs  électrodiques  comprenant  des électrodes mobiles et des électrode fixes en acier nickelé.
On obtient une grande variation de résistance par le déplacement des électrodes au sein de l'électrolyte.

En fin de démarrage les électrodes s'interpénètrent  sans toutefois entrer en contact, on obtient alors la résistance minimum.

           Compte tenu de la faible densité de courant ( de l'ordre  de            un  Ampère au cm² )  la durée  de  vie  des  électrodes  est             extrêmement  longue .